Entre juillet 2003 et février 2011, j'ai représenté notre ONG au Niger. Implantée à Niamey, j'ai pu assurer de près le suivi de nos nombreux projets et activités. Mais suite à l’insécurité au Niger, devenue endémique en 2010/2011, et la multiplication des problèmes logistiques et sécuritaires rencontrés par l’ONG, j'ai dû plier bagage et rentrer au Luxembourg, confortée dans mon choix par le Ministère des Affaires Etrangères du Luxembourg, qui jugeait la situation trop dangereuse.
Avec l’appui de nos donateurs, nous avons néanmoins pu réaliser plusieurs projets (puits, moulin à grains, motopompe). Nous continuons par ailleurs de prendre en charge la cantine et le matériel scolaire de la Maison de l’Espoir, grâce à des parrainages. Le soutien de "service clubs" tels que le Lions Club et Kiwanis nous permettent par ailleurs de développer de nouveaux projets ou de porter à terme des projets déjà engagés. Après une période de réflexion et d’hésitation, et après une courte visite au Niger en 2014, l’ONG a ainsi signé un contrat de partenariat avec la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya) pour ses projets à Kalla, Déyé et Bangouziba.
En octobre 2016, constatant un léger apaisement des tensions au Niger, je me suis de nouveau rendue à Niamey, où j'ai rencontré les collaborateurs locaux de l'ONG et visité les villages de Déyé, Kalla et Bangouziba pour constater l'avancement des travaux. Or, pendant mon séjour, un missionnaire évangélique américain a été kidnappé, ses deux gardes tués – preuve que la sécurité au Niger est encore toute relative. Ceci vaut tout particulièrement pour les régions en contact avec la Nigéria (comme p. ex. Maradi et Tillabéri), mais aussi pour les zones touareg au nord. Par conséquent, l'ONG a recentré ses activités sur le sud et l'ouest du pays, où je compte me rendre en janvier 2017 pour lancer de nouveaux chantiers.
Avec l’appui de nos donateurs, nous avons néanmoins pu réaliser plusieurs projets (puits, moulin à grains, motopompe). Nous continuons par ailleurs de prendre en charge la cantine et le matériel scolaire de la Maison de l’Espoir, grâce à des parrainages. Le soutien de "service clubs" tels que le Lions Club et Kiwanis nous permettent par ailleurs de développer de nouveaux projets ou de porter à terme des projets déjà engagés. Après une période de réflexion et d’hésitation, et après une courte visite au Niger en 2014, l’ONG a ainsi signé un contrat de partenariat avec la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya) pour ses projets à Kalla, Déyé et Bangouziba.
En octobre 2016, constatant un léger apaisement des tensions au Niger, je me suis de nouveau rendue à Niamey, où j'ai rencontré les collaborateurs locaux de l'ONG et visité les villages de Déyé, Kalla et Bangouziba pour constater l'avancement des travaux. Or, pendant mon séjour, un missionnaire évangélique américain a été kidnappé, ses deux gardes tués – preuve que la sécurité au Niger est encore toute relative. Ceci vaut tout particulièrement pour les régions en contact avec la Nigéria (comme p. ex. Maradi et Tillabéri), mais aussi pour les zones touareg au nord. Par conséquent, l'ONG a recentré ses activités sur le sud et l'ouest du pays, où je compte me rendre en janvier 2017 pour lancer de nouveaux chantiers.