Pour assurer le suivi de nos projets au Niger, et plus particulièrement dans la communauté rurale de Bangouziba, je me suis rendue au Niger en février/mars de cette année. À vrai dire, je n’étais pas trop triste d’échanger le froid glacial du Luxemburg contre le soleil du Niger, où la température avoisine actuellement les… 40 degrés – même s’il faut avouer que le nombre inhabituel de moustiques peut quelque peu gâcher le plaisir.
Arrivée à Niamey lundi 26 février, j’ai tenu une réunion de travail avec notre représentant sur place, Hama Abdoulaye, pour fixer le programme de la semaine. Il a notamment été décidé que nous partirions à Bangouziba jeudi à bord d’un 4x4 de location.
La journée de mercredi a été mise à profit pour une réunion avec l’entreprise ayant réalisé la clôture du site maraîcher de Bangouziba et qui est également pressentie pour effectuer le forage sur site.
Jeudi, nous sommes donc partis à 7 heures à Bangouziba. Peu après notre arrivée, vers 11 heures, nous avons procédé à l’inspection des équipements mis en place ces derniers mois grâce à l’appui de l’ONG : le puits, le moulin à grains, la case de santé et enfin la clôture du site maraîcher.
Lors de notre réunion avec les habitants de Bangouziba, nous avons pu constater la présence de nombreuses femmes, qui tenaient à remercier l’ONG et témoigner des améliorations que ces équipements apportent dans leur vie quotidienne, notamment la clôture du site maraîcher, qui protégera les futurs cultures de contre-saison de la dévastation par les caprins. Mais pour que le jardin soit productif, nous devons impérieusement entamer la prochaine étape, c’est-à-dire réaliser un forage dont l’eau doit permettre d’irriguer les champs.
Samedi, nous avons organisé une réunion à Niamey avec les responsables des projets de Tibiri, soit Monsieur Gambo, l’infirmier du Centre médical « Tournesol » et gestionnaire du complexe « Maison de l’Espoir », Monsieur Seïdou Mouley, directeur et enseignant à la « Maison de l’Espoir », Monsieur Mahamane Sallissou dit « Sarki », ancien élève et désormais responsable et formateur de la Coopérative « Anfani Gouragou », et enfin Madame Rabi, cuisinière de la cantine scolaire. Nous avons ainsi appris que pour l’année scolaire 2017/2018, l’école accueillait un total de 313 enfants et disposait de 7 enseignants. La coopérative quant à elle compte 62 élèves pour 6 formateurs. Après une discussion très positive, nous avons échangé pleins de bons souvenirs autour d’un méchoui.
De retour au Luxembourg, il s’agit désormais de récolter les fonds nécessaires au forage pour que le projet de site maraîcher à Bangouziba puisse être concrétisé.
Photos ci-bas, de gauche à droite dans le sens de la montre: Sarki, formateur de la Coopérative « Anfani Gouragou », lors d’une remise de diplômes aux élèves de la classe Couture; l’équipe des formateurs de la Coopérative « Anfani Gouragou », tous anciens élèves de la « Maison de l’Espoir »; Réunion autour d'un méchoui: (de g. à dr.) Hama Abdoulaye, représentant de l’ONG, Issoufou Kakalé, ancien élève, Hindou Abdoulaye, notre cuisinière Rabi, Monsieur Gambo, Seïdou Mouley et Sarki.
Arrivée à Niamey lundi 26 février, j’ai tenu une réunion de travail avec notre représentant sur place, Hama Abdoulaye, pour fixer le programme de la semaine. Il a notamment été décidé que nous partirions à Bangouziba jeudi à bord d’un 4x4 de location.
La journée de mercredi a été mise à profit pour une réunion avec l’entreprise ayant réalisé la clôture du site maraîcher de Bangouziba et qui est également pressentie pour effectuer le forage sur site.
Jeudi, nous sommes donc partis à 7 heures à Bangouziba. Peu après notre arrivée, vers 11 heures, nous avons procédé à l’inspection des équipements mis en place ces derniers mois grâce à l’appui de l’ONG : le puits, le moulin à grains, la case de santé et enfin la clôture du site maraîcher.
Lors de notre réunion avec les habitants de Bangouziba, nous avons pu constater la présence de nombreuses femmes, qui tenaient à remercier l’ONG et témoigner des améliorations que ces équipements apportent dans leur vie quotidienne, notamment la clôture du site maraîcher, qui protégera les futurs cultures de contre-saison de la dévastation par les caprins. Mais pour que le jardin soit productif, nous devons impérieusement entamer la prochaine étape, c’est-à-dire réaliser un forage dont l’eau doit permettre d’irriguer les champs.
Samedi, nous avons organisé une réunion à Niamey avec les responsables des projets de Tibiri, soit Monsieur Gambo, l’infirmier du Centre médical « Tournesol » et gestionnaire du complexe « Maison de l’Espoir », Monsieur Seïdou Mouley, directeur et enseignant à la « Maison de l’Espoir », Monsieur Mahamane Sallissou dit « Sarki », ancien élève et désormais responsable et formateur de la Coopérative « Anfani Gouragou », et enfin Madame Rabi, cuisinière de la cantine scolaire. Nous avons ainsi appris que pour l’année scolaire 2017/2018, l’école accueillait un total de 313 enfants et disposait de 7 enseignants. La coopérative quant à elle compte 62 élèves pour 6 formateurs. Après une discussion très positive, nous avons échangé pleins de bons souvenirs autour d’un méchoui.
De retour au Luxembourg, il s’agit désormais de récolter les fonds nécessaires au forage pour que le projet de site maraîcher à Bangouziba puisse être concrétisé.
Photos ci-bas, de gauche à droite dans le sens de la montre: Sarki, formateur de la Coopérative « Anfani Gouragou », lors d’une remise de diplômes aux élèves de la classe Couture; l’équipe des formateurs de la Coopérative « Anfani Gouragou », tous anciens élèves de la « Maison de l’Espoir »; Réunion autour d'un méchoui: (de g. à dr.) Hama Abdoulaye, représentant de l’ONG, Issoufou Kakalé, ancien élève, Hindou Abdoulaye, notre cuisinière Rabi, Monsieur Gambo, Seïdou Mouley et Sarki.